Si quelqu’un pèche en faisant sans le savoir l’une des choses que l’Eternel a interdites dans ses commandements, il sera tenu pour coupable et portera la responsabilité de sa faute.
Les parents ne seront pas mis à mort pour les crimes commis par leurs enfants, ni les enfants pour ceux de leurs parents : si quelqu’un doit être mis à mort, ce sera pour son propre péché.
Même s’il était vrai |que j’aie fait fausse route, après tout, c’est moi seul |que mon erreur concerne.
Si tu es sage, |c’est toi qui en profiteras, mais si tu es moqueur, |tu en supporteras |toi seul les conséquences. »
En ce temps-là, on ne dira plus ce proverbe : « Les pères ont mangé des raisins verts mais ce sont les dents des enfants qui en sont agacées. » Mais chacun périra pour son propre péché. C’est celui qui mangera des raisins verts qui en aura les dents agacées.
C’est la personne qui pèche qui mourra et le fils ne sera pas tenu pour responsable de la faute de son père, ni le père tenu pour responsable de la faute de son fils. A celui qui est juste, sa droiture sera portée à son compte, et l’on portera au compte du méchant sa méchanceté.
Mais si la sentinelle voit venir l’ennemi et ne sonne pas du cor, de sorte que le peuple ne soit pas averti, si alors l’ennemi survient et tue un membre du peuple, cette personne périra bien par suite de ses propres fautes, mais je demanderai compte de sa mort à la sentinelle.
Or, je vous le déclare, au jour du jugement les hommes rendront compte de toute parole sans fondement qu’ils auront prononcée. En effet, c’est en fonction de tes propres paroles que tu seras déclaré juste, ou que tu seras condamné.
Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même.
Car nous aurons tous à comparaître devant le tribunal de Christ, et chacun recevra ce qui lui revient selon les actes, bons ou mauvais, qu’il aura accomplis par son corps.
Que chacun examine ce qu’il accomplit lui-même. S’il y découvre quelque aspect louable, alors il pourra en éprouver de la fierté par rapport à lui-même et non pas par comparaison avec les autres, car chacun aura à répondre pour lui-même de ses propres actions.
Si quelqu’un ne prend pas soin des siens, en particulier des membres de sa famille, il a renié la foi et il est pire qu’un incroyant.
Obéissez à vos conducteurs et soumettez-vous à eux, car ils veillent sur vous en sachant qu’ils devront un jour rendre compte à Dieu de leur service. Qu’ils puissent ainsi s’acquitter de leur tâche avec joie et non pas en gémissant, ce qui ne vous serait d’aucun avantage.
Mes amis, ne soyez pas nombreux à enseigner ; vous le savez : nous qui enseignons, nous serons jugés plus sévèrement.
Maintenant ils trouvent étrange que vous ne vous précipitiez plus avec eux dans la même vie de débauche, et ils se répandent en calomnies sur vous. Ils en rendront compte à celui qui est prêt à juger les vivants et les morts.