L’Eternel Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul, je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis.
Alors l’Eternel Dieu plongea l’homme dans un profond sommeil. Pendant que celui-ci dormait, il prit une de ses côtes et referma la chair à la place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme.
C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
Tu ne commettras pas d’adultère.
Bois les eaux de ta propre citerne et celles qui jaillissent de ta fontaine.
Que ta source soit bénie ! Fais ta joie de la femme que tu as aimée dans ta jeunesse,
Qui trouve une épouse trouve le bonheur : c’est une faveur que l’Eternel lui a accordée.
Qui se trouvera une femme de valeur ? elle a bien plus de prix |que des coraux.
Mariez-vous et ayez des enfants ; mariez vos fils et donnez vos filles en mariage et qu’elles aient des enfants ! Multipliez-vous là-bas, et ne laissez pas diminuer votre nombre.
Un homme en qui subsiste un reste de bon sens ne ferait pas cela ! Mais vous me répliquez : Alors qu’a fait cet homme-là – Abraham – dont nous avons l’exemple ? Eh bien, il cherchait une descendance qui lui vienne de Dieu. Restez donc dans votre bon sens, et ne trahissez pas la femme de votre jeunesse.
Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Il leur dit : Celui qui divorce et se remarie commet un adultère à l’égard de sa première femme.
Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant que celui-ci est en vie. Mais s’il vient à mourir, elle est libérée de la loi qui la liait à lui.
Cependant, pour éviter toute immoralité, il est préférable que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
Quant aux couples chrétiens, voici ce que j’ordonne, ou plutôt ce que le Seigneur lui-même leur commande : Que la femme ne se sépare pas de son mari. Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas quitter sa femme.
Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien.
Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur.
Mais comme l’Eglise se soumet à Christ, qu’ainsi aussi la femme se soumette en toute circonstance à son mari.
Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle.
Voilà comment chaque mari doit aimer sa femme comme si elle était son propre corps : ainsi celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car personne n’a jamais haï sa propre chair ; au contraire, chacun la nourrit et l’entoure de soins, comme Christ le fait pour l’Eglise.
Quant à vous, que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme témoigne un profond respect à son mari.
Femmes, soyez soumises chacune à son mari, comme il convient à des femmes qui appartiennent au Seigneur.
Maris, aimez chacun votre femme et ne nourrissez pas d’aigreur contre elles.
Il faut toutefois que le dirigeant soit un homme irréprochable : mari fidèle à sa femme, faisant preuve de modération, réfléchi et vivant de façon convenable. Qu’il soit hospitalier et capable d’enseigner.
Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement, et en tenant compte de la nature plus délicate de la femme. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières.