Tu mets dans mon cœur de la joie, |plus qu’ils n’en ont quand leurs moissons abondent, |quand leur vin nouveau coule.
Mais que tous ceux |qui trouvent un refuge en toi |soient à jamais dans l’allégresse et poussent de grands cris de joie, |car ils sont sous ta protection ; et que tous ceux qui t’aiment se réjouissent grâce à toi.
Par toi, j’exulte d’allégresse, je te célèbre par des chants, |ô Dieu très-haut.
Pour moi, j’ai confiance |en ta bonté. La joie remplit mon cœur |à cause de ton grand salut. Je veux chanter en ton honneur, |ô Eternel, tu m’as comblé de tes bienfaits.
Tu me feras connaître |le chemin de la vie : plénitude de joie |en ta présence, délices éternelles |auprès de toi.
Ah, que vienne du mont de Sion |le salut pour Israël ! Quand l’Eternel changera |le sort de son peuple, Jacob criera d’allégresse, |Israël, de joie.
Tu as transformé mes pleurs |en une danse de joie, et tu m’as ôté |mes habits de deuil |pour me revêtir |d’un habit de fête,
Lorsque des pensées en foule |s’agitaient en moi, tes consolations |m’ont rendu la joie.
Tes décrets restent pour toujours |mon bien précieux : et ils font la joie de mon cœur.
Le souci au fond du cœur déprime un homme, mais une parole d’encouragement lui rend la joie.
Un cœur joyeux rend le visage aimable, mais quand le cœur est triste, l’esprit est abattu.
Pour l’affligé, tous les jours sont mauvais, mais celui qui a le contentement dans son cœur est toujours en fête.
Un cœur joyeux est un excellent remède, mais l’esprit déprimé mine la santé.
Je serai plein de joie, |l’Eternel en sera la source. J’exulterai |à cause de mon Dieu, parce qu’il m’aura revêtu |des habits du salut et qu’il m’aura enveloppé |du manteau de justice, tout comme le marié |se pare d’un turban |tout comme un prêtre, et comme la mariée |s’orne de ses bijoux.
Dès que j’ai trouvé tes paroles, je les ai dévorées. Elles ont fait ma joie et mon bonheur, car je porte ton nom, ô Eternel, |Dieu des armées célestes !
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.
Pousse des cris de joie, |ô communauté de Sion ! Lance un cri de triomphe, |ô Israël ! Réjouis-toi, |exulte de tout cœur, ô communauté de Jérusalem ! L’Eternel a levé |le verdict de condamnation |prononcé contre vous, et il a refoulé |vos ennemis. Le roi d’Israël, l’Eternel, |est au milieu de vous. Vous ne craindrez plus de malheur.
Toutefois, ce qui doit vous réjouir, ce n’est pas de voir que les esprits mauvais vous sont soumis, mais de savoir que vos noms sont inscrits dans le ciel.
De même, je vous le déclare, il y a de la joie parmi les anges de Dieu pour un seul pécheur qui change.
Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, pour que votre joie soit complète.
Tous les jours, d’un commun accord, ils se retrouvaient dans la cour du Temple ; ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leurs repas dans la joie, avec simplicité de cœur.
Mieux encore ! Nous tirons fierté même de nos détresses, car nous savons que la détresse produit la persévérance, la persévérance conduit à une fidélité éprouvée, et la fidélité éprouvée nourrit l’espérance.
Partagez la joie de ceux qui sont dans la joie, les larmes de ceux qui pleurent.
Que chacun donne ce qu’il aura décidé en son cœur, sans regret ni contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie.
Mais le fruit de l’Esprit c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, l’amabilité, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi. La Loi ne condamne certes pas de telles choses.
Réjouissez-vous en tout temps de tout ce que le Seigneur est pour vous. Oui, je le répète, soyez dans la joie.
Soyez toujours dans la joie. Priez sans cesse. Remerciez Dieu en toute circonstance : telle est pour vous la volonté que Dieu a exprimée en Jésus-Christ.
L’un de vous passe-t-il par la souffrance ? Qu’il prie. Un autre est-il dans la joie ? Qu’il chante des cantiques.
Mes chers amis, ne soyez pas surpris d’avoir été plongés dans la fournaise de l’épreuve, comme s’il vous arrivait quelque chose d’anormal. Au contraire, réjouissez-vous, car vous participez aux souffrances de Christ, afin d’être remplis de joie quand il paraîtra dans toute sa gloire.
Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants vivent selon la vérité.