David était dans une situation très angoissante parce que ses compagnons étaient pleins d’amertume en pensant chacun à ses fils et à ses filles, et ils parlaient de le lapider. Mais David puisa de nouvelles forces en se confiant en l’Eternel son Dieu.
C’est à l’Eternel |qu’il te faut remettre |ta vie tout entière. Aie confiance en lui |et il agira.
Rejette ton fardeau |sur l’Eternel : |il prendra soin de toi, il ne laissera pas le juste |s’écrouler pour toujours.
Le jour où j’ai peur, je mets ma confiance en toi.
Le souci au fond du cœur déprime un homme, mais une parole d’encouragement lui rend la joie.
Recommande tes œuvres à l’Eternel, et tes projets se réaliseront.
A ceux qui sont troublés dites-leur : Soyez forts, |n’ayez aucune crainte, votre Dieu va venir pour la rétribution, Dieu va régler ses comptes. Il va venir lui-même |pour vous sauver.
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.
Ne sois pas effrayé, car je suis avec toi ; ne sois pas angoissé, car moi je suis ton Dieu. Je t’affermis, je viens à ton secours, pour sûr, je te soutiens |de mon bras droit |qui fait justice.
Ne vous inquiétez pas pour le lendemain ; le lendemain se souciera de lui-même. A chaque jour suffit sa peine.
Lorsqu’on vous livrera aux autorités, ne vous inquiétez ni du contenu ni de la forme de ce que vous direz, car cela vous sera donné au moment même.
Venez à moi, vous tous qui êtes accablés sous le poids d’un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos.
Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour vous-mêmes.
Un autre encore a reçu la semence « parmi les ronces ». C’est celui qui écoute la Parole, mais en qui elle ne porte pas de fruit parce qu’elle est étouffée par les soucis de ce monde et par l’attrait trompeur des richesses.
Mais le Seigneur lui répondit : Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour beaucoup de choses ; il n’y en a qu’une seule qui soit vraiment nécessaire. Marie a choisi la meilleure part, et personne ne la lui enlèvera.
Jésus ajouta, en s’adressant à ses disciples : C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : Qu’allons-nous manger ? Avec quoi allons-nous nous habiller ?
Ne vous faites donc pas de soucis au sujet du manger et du boire, et ne vous tourmentez pas pour cela. Toutes ces choses, les païens de ce monde s’en préoccupent sans cesse. Mais votre Père sait que vous en avez besoin.
Jésus dit : Que votre cœur ne se trouble pas. Ayez foi en Dieu, ayez aussi foi en moi.
Je pars, mais je vous laisse la paix, c’est ma paix que je vous donne. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. C’est pourquoi, ne soyez pas troublés et n’ayez aucune crainte en votre cœur.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
Mais il m’a répondu : « Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. Je trouve ainsi ma joie dans la faiblesse, les insultes, la détresse, les persécutions et les angoisses que j’endure pour Christ. Car c’est lorsque je suis faible que je suis réellement fort.
Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos demandes à Dieu en lui adressant vos prières et vos supplications, tout en lui exprimant votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ.
Aussi pouvons-nous dire avec assurance : Le Seigneur vient à mon secours, |je n’aurai pas de crainte, que me feraient les hommes ?
Et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous.
Mes frères et sœurs, quand vous passez par toutes sortes d’épreuves, considérez-vous comme heureux. Car vous le savez : la mise à l’épreuve de votre foi produit l’endurance. Mais il faut que votre endurance aille jusqu’au bout de ce qu’elle peut faire pour que vous parveniez à l’état d’adultes et soyez pleins de force, des hommes auxquels il ne manque rien.