Et voici : je suis moi-même avec toi, je te garderai partout où tu iras ; et je te ferai revenir vers cette région ; je ne t’abandonnerai pas mais j’accomplirai ce que je t’ai promis.
L’Eternel est ma force, |il est le sujet de mes chants, il m’a sauvé, il est mon Dieu, je le louerai et je l’exalterai, |lui, le Dieu de mon père.
L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
Prenez courage, tenez bon ! Ne craignez rien et ne vous laissez pas effrayer par eux, car l’Eternel votre Dieu marche lui-même avec vous, il ne vous délaissera pas et ne vous abandonnera pas.
Oui, l’Eternel est ma lumière |et mon Sauveur : de qui aurais-je crainte ? L’Eternel est ma forteresse : |il protège ma vie ; de qui aurais-je peur ?
Je t’ai donné cet ordre : Prends courage et tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi, l’Eternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras.
L’Eternel est ma force, |mon bouclier. En lui je me confie ; |il vient à mon secours. Aussi mon cœur bondit de joie. Je veux chanter pour le louer. L’Eternel est la force |de tous les siens, il est la forteresse |où le roi qui a reçu l’onction de sa part |trouve la délivrance.
Dieu est mon roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier. Mon asile est en lui. Toi, mon Sauveur, tu me délivres |des hommes violents.
C’est en toi, Eternel, |que je cherche un refuge. Que jamais cela ne tourne à ma confusion ! Toi qui es juste, |délivre-moi, tends l’oreille vers moi ! Viens vite ! Viens me délivrer ! Sois pour moi un rocher |entouré de murailles, |une solide forteresse où je trouverai le salut ! Oui, tu es pour moi un rocher, |et une forteresse : à cause de ce que tu es, |toi, tu me guideras |et tu me conduiras.
Oui, Dieu est mon Sauveur, je me confie en lui |et je n’ai plus de crainte, car l’Eternel, |l’Eternel est ma force, |il est le sujet de mes chants, il m’a sauvé.
Le salut des justes |vient de l’Eternel, et il est leur forteresse |aux jours de détresse.
Placez votre confiance |toujours en l’Eternel, car l’Eternel est le rocher |de toute éternité.
Dieu est pour nous un rempart, |il est un refuge, un secours toujours offert |lorsque survient la détresse.
Il donne de la force |à qui est las et il augmente la vigueur |de celui qui est épuisé.
Moi, je chanterai ta force et, dès le matin, |j’acclamerai ton amour, car tu es pour moi |une forteresse, tu es mon refuge |quand je suis dans la détresse ! Je veux donc te célébrer |par mes chants, |toi qui es ma force. Oui, Dieu est ma forteresse : |c’est un Dieu qui m’aime.
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.
Sois le rocher |où je trouve un refuge, où je peux accéder |à tout moment, où tu as résolu |de me sauver ! Car tu es mon rocher, |ma forteresse.
Ne sois pas effrayé, car je suis avec toi ; ne sois pas angoissé, car moi je suis ton Dieu.
Je t’affermis, je viens à ton secours, pour sûr, je te soutiens |de mon bras droit |qui fait justice.
Lancez des cris d’allégresse |vers Dieu notre force ! Acclamez joyeusement |le Dieu de Jacob !
Maintenant, l’Eternel |qui t’a créé, |ô peuple de Jacob, et qui t’a façonné, |ô Israël, te déclare ceci : Ne sois pas effrayé car je t’ai délivré, je t’ai appelé par ton nom, tu es à moi.
Eternel, toi ma force, |mon rempart, toi, mon refuge, |au temps de la détresse, les peuples étrangers |viendront à toi des confins de la terre en proclamant : Nos pères n’ont eu en partage |que des idoles mensongères, des divinités inutiles |qui ne servent à rien.
L’Eternel est ma force, |il est le sujet de mes chants ; il m’a sauvé.
Mais l’Eternel est bon, il est un sûr abri |au jour de la détresse, et il prend soin de ceux |qui se confient en lui.
L’Eternel, le Seigneur, |c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils |à ceux des biches, il me fait cheminer |sur les lieux élevés.
Il me témoigne son amour, |il est ma forteresse et mon refuge : |c’est lui qui me libère. Il est mon bouclier |où je trouve un abri, il me soumet mon peuple.
Mais il m’a répondu : « Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.
Pour conclure : puisez votre force dans le Seigneur et dans sa grande puissance.
Je peux tout, grâce à celui qui me fortifie.
Toi donc, mon enfant, puise tes forces dans la grâce qui nous est accordée dans l’union avec Jésus-Christ.